ROQYA CHARIAA SELON LA SUNNA
BASE DANS LE 78 A MONTIGNY LES BRETONNEUX

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introduction
la roqya est la guérison et le soulagement de gens qui souffrent et sont bloqués depuis des années.
deuxièment c est une protection des musulmans contre lele chirk et un renforcement de leur foi.
troisiement c est une porte de daawa pour les nons musulmans.
quatriement,c est un combat contre les sorciers,sataniste,feticheurs
,voyants, et leurs associés et toutes formes de chirk jusqu à ce que ca disparaisse totalement.
existence de la sorcellerie
Allah le Très Haut dit : « Ainsi, chaque fois qu’un messager est venu vers leurs prédécesseurs sans qu’ils n’aient dit : c’est un sorcier ou un possédé »(Sourate 51 verset 52).
Les hommes ont toujours connu ces phénomènes de sorcellerie et de possession par les djinns, ce n’est que le matérialisme moderne qui les rejette au nom de la science, voulant tout expliquer par les problèmes psychologiques et les superstitions. Nous ne pouvons que nous étonner de certains imams et savants niant la réalité de ces phénomènes alors que des anges même ont enseigné la sorcellerie et Allah atteste de la réalité de son effet : « Et ils n’enseignent à quelqu’un jusqu’à dire : nous sommes une tentation, ne deviens pas mécréant ! Ils apprennent d’eux de quoi semer la désunion entre la personne et son épouse. Or, ils ne peuvent nuire à personne que par la permission d’Allah » (Sourate 2 verset 102). Nous savons aussi comment le Prophète, prière et paix sur lui, fut ensorcelé et demeura malade jusqu’à ce qu’Allah le Très Haut envoie les anges lui indiquer qu’on l’avait ensorcelé avec des cheveux et des nœuds déposés sous une pierre au fond d’un puits sec utilisé pour les besoins. Il a alors fallu envoyer les compagnons le chercher et c’est en lisant les deux sourates protectrices sur les nœuds qu’ils se sont ouverts et le Prophète, prière et paix sur lui, s’est retrouvé. « Le mal de celles qui soufflent dans les nœuds » est donc bien une réalité. Il y a quatre symptômes de la sorcellerie et des djinns :
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Les blocages dans la vie : travail, argent, mariage, études, concours, promesses non tenues, malchances… C’est quand les blocages sont anormaux et répétitifs jusqu’à être systématiques qu’on sait que c’est la sorcellerie.
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Les problèmes de santé anormaux : douleurs inexplicables et permanentes, maladies bizarres que la médecine ne peut que décrire, plaies ouvertes, stérilité et impuissance.
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Etats mentaux anormaux : colère, irritabilité, tristesse, déprime, oubli, manque de confiance en soi, absence de concentration, entendre et voir des choses jusqu’à la folie,…
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Cauchemars : poursuite, serpents, chien, bœuf, corps habillés, masques, l’eau, monter ou tomber ou s’envoler, morts ou tombes, voitures ou véhicules, feu, poisson, maris ou épouses de nuits.
la roqya
La roqya est la guérison et le soulagement de gens qui souffrent et sont bloqués depuis des années. Deuxièmement c'est une protection des musulmans contre le chirk et un renforcement de leur foi. Troisièmement c'est une porte de daâwa pour les non musulmans car le Coran guérit aussi les non musulmans puisque les sahabas ont guéri par la Fatiha un chef de tribu féticheur. Quatrièmement, c'est un combat contre les sorciers, satanistes, féticheurs, voyants, et leurs associés et toutes formes de chirk jusqu'à ce que ça disparaisse totalement. La sorcellerie étant un mal qui affecte le corps, jusqu’à ce qu’il tombe malade ou meurt, et qui crée la désunion entre les époux, il est donc légiféré de tout faire pour y remédier et utiliser les moyens licites de guérison. En effet, Allah le Très Haut a donné un remède à chaque maladie
D’après Abû Hurayra – qu'Allah l'agrée – le Prophète (Paix et salut sur lui) a dit : « Allah n’a pas fait descendre de maladie sans faire descendre son remède. »
Mouslim a rapporté d’après Jabir – qu'Allah l'agrée – que le Prophète (Paix et salut sur lui) a dit : « Toute maladie a son remède ; si le remède correspondant à la maladie est trouvé, le malade guérira grâce à Allah le Tout-Puissant. » Pour la sorcellerie particulièrement le remède est dans le Coran car la sorcellerie est des paroles sataniques et ce sont les paroles d’Allah qui l’annulent.
ALLAH ta’ala dit : « Ce Coran que Nous révélons et qui apporte aux croyants guérison et miséricorde ne fait, en réalité, qu’aggraver la ruine des méchants. »
principe de base
La base essentielle du traitement est le Coran : le Coran annule la sorcellerie et le mauvais œil et brûle les djinns quand ils sont mécréants ou quand ils sont en tort.
Reste à savoir quels versets et comment les appliquer. Cela nous est donné en large mesure par la sunna du Prophète, bénédictions et salut sur lui : on tient la personne et on lit le Coran en se tournant vers elle : on lit dans de l’eau en plaçant les récipients d’eau ouverts devant soi, et on postillonne à la fin de la lecture ; le malade ensuite boit et se lave de cette eau un certain nombre de jours. Plusieurs sourates et versets sont recommandés, à lire un certain nombre de fois. Le « sidr » - jujubier oriental - est recommandé pour le traitement de la sorcellerie ; d’autres plantes comme la « habba sawda » et le « sana makki »- gomme ammoniaque - figurent dans la médecine prophétique ; les hadiths disent « La graine noire est une guérison de toute maladie » et « Utilisez le sana et le sanout, car elles contiennent un remède pour toute maladie sauf la mort. Nous allons aussi avoir recours à de légères saignées - « hijâma ».
L’application et la combinaison de ces ingrédients de base découlent de l’expérience. Ce domaine n’est pas limité : il est toujours possible de découvrir des cas nouveaux auxquels il faudra trouver des solutions spécifiques ou bien on peut améliorer des solutions déjà existantes, tout comme les sorciers inventent des techniques nouvelles pour rendre leur mal performant. Je veux dire qu’il est quasiment impossible de faire le tour complet de la question, comme en médecine il est impossible d’avoir le dernier mot. Pour cela, il ne faut pas s’étonner que les praticiens de ce domaine aient tous des méthodes différentes, même si elles se rejoignent dans les principes. Vous reconnaissez un praticien conforme à l’islam par les éléments suivants : il ne vous dit pas l’avenir, il ne fait pas de sorcellerie, il utilise le Coran, il ne prononce pas des codes incompréhensibles et n’invoque pas un autre qu’Allah, il ne fait pas de talisman avec des codes de djinns, il vous recommande des douâas et des actes religieux comme la prière. Si vous doutez, faites la prière de consultation et demandez à Allah de vous orienter correctement.
2 La participation du malade
Plus quelqu’un a un caractère fort et une spiritualité forte, moins il sera affecté par la sorcellerie et les djinns, et plus facilement il se rétablira. A la limite quelqu’un puni par Allah à cause de ses péchés sera impossible à soigner. Recommandez donc aux patients de se repentir (de prier s’ils ne prient pas, de laisser les grands péchés s’ils les commettent) pour qu’Allah accepte leurs invocations et facilite leur guérison. Mais il ne faut pas que le but du repentir soit uniquement la guérison, il faut adorer Allah pour Sa satisfaction et pour la réussite éternelle, mais il arrive que les épreuves avec la sorcellerie et les djinns soient une cause de repentir. N’établissez pas un lien sûr : « si tu pries, tu seras guéri, sinon c’est impossible ». Ne faites pas de chantage, pratique contre soins. Encouragez la personne au repentir mais soignez-la quand même. Il se peut que le djinn ou la sorcellerie de la personne rendent très difficile la pratique. Je sais que des collègues en Egypte ou en Arabie Saoudite exigent le repentir avant de soigner les malades, mais les circonstances en France sont différentes. Sans brusquer les gens vous pouvez exiger les conditions qui vous permettent de travailler sereinement : les ablutions, tenue correcte pour les femmes… Ce qui est par contre très important est que la personne ne commette pas d’association : qu’elle n’aille pas chez les voyants ou les sorciers. En tout cas, le traitement que je vous décris marche avec les non pratiquants et même avec les non musulmans. Le seul cas où il est inefficace c’est une personne punie par Allah : les paroles d’Allah n’annuleront pas la volonté d’Allah. Il y a aussi celles qui rechutent sans cesse car elles persévèrent dans leurs péchés.
Cependant la différence est nette avec une personne ayant une forte spiritualité. Il n’est pas rare qu’elle voie en rêve l’endroit où se trouve la sorcellerie ou la manière dont elle est faite, ou le Prophète, bénédictions et salut sur lui, lui lisant le Coran ou tout autre rêve aidant à la guérison et soulageant directement le malade. Il a arrive aussi qu’une partie du mal disparaisse sans voir aucun rêve. Nous conseillons donc aux malades - et à leurs familles - en plus du repentir, de fortifier leur spiritualité avec la lecture du Coran, l’évocation d’Allah, la prière et les douâas. Demandez-leur de compter sur Allah et pas sur vous. S’ils savent lire le Coran et qu’ils sont assez investis dans la religion, apprenez leur les basiques.
Si une personne veut avoir des détails sur les personnes qui lui ont fait la sorcellerie, dites-lui de le demander à Allah avant de dormir. En effectuant la prière du besoin. S’il y a un bien à le savoir, Allah le lui montrera in cha Allah.
Enfin, il ne faut pas négliger l’aspect physique du patient. La santé et la force physique comptent aussi pour surpasser ces affectations. Le djinn épuise les forces de la personne et l’affaiblit. N’hésitez pas à lui faire prendre des vitamines et sels minéraux pendant la période du traitement si elle a des faiblesses physiques ou un manque d’énergie. Si elle est émotionnellement affectée : peur, angoisse, énervement, apathie, crispation, faites-lui prendre quotidiennement des tisanes naturelles de décontraction (verveine ou tilleul par exemple).
3 Le malade et le djinn
Pour le djinn particulièrement, la participation du malade est très importante. Il doit le priver de tout ce qu’il aime : pêchés, nourriture haram, occupations contradictoires avec la religion : et l’attaquer constamment avec le rappel d’Allah : dhikr, Coran, prières. Il est difficile d’enlever le djinn à quelqu’un qui, dès qu’il sort des chez vous, se remet à faire tout ce que la religion désapprouve. Enseignez aussi aux malades comment réagir s’ils sont attaqués en rêve (revoir le chapitre précédent, paragraphe 2).
La lutte psychologique est très importante pour venir à bout des djinns. Un djinn chez une personne, quelles que soient les raisons de sa présence et les choses qu’il fait, transmet à la personne ses pensées et ses émotions. Cela se fait naturellement car ils partagent le même corps : le djinn pense dans la tête du malade et ce dernier peut croire que c’est lui qui pense cela ou il subit ces pensées sans trop les comprendre. De même, la personne ressent ce que ressent le djinn : il déteste ce qu’il déteste, aime ce qu’il aime, se fâche quand il se fâche, a peur quand il a peur, ne supporte pas ce qu’il ne supporte pas, etc. La personne peut même avoir des envies homosexuelles quand elle est habitée par un djinn de l’autre sexe qui a des envies en voyant quelqu’un. Les émotions du djinn se manifestent surtout dans le cas d’une personne mariée habitée par un djinn amoureux d’elle : elle risque fort de ne plus supporter son conjoint. Par ailleurs, un djinn non musulman ou non pratiquant chez une personne peut lui faire un rejet de la religion ou un attrait vers une autre religion. Cela mène certains à réduire ou laisser leur pratique car elle devient trop difficile. Quant aux pensées, elles peuvent devenir obsessionnelles. Le comble est quand deux personnes ayant chacun un djinn se rencontrent : toutes les réactions sont possibles, mais elles sont le plus souvent négatives car les djinns ressentent souvent leurs semblables comme une gêne, comme s’ils ne voulaient pas partager leur territoire. Cela peut arriver aux bagarres physiques entre djinns à travers des personnes possédées.
La grande découverte est qu’il s’agit d’une lame à double tranchant : autant le djinn peut transmettre à la personne ses pensées et ses émotions, autant cette personne peut faire de même. Elle doit en premier lieu reconnaître les pensées et les émotions qui proviennent du djinn, en usant de logique et de bon sens. Dès qu’elle s’aperçoit que c’est le djinn qui l’influence, elle le contredit en pensant à ce qui est vrai ou s’efforçant de ressentir les émotions correctes. Par exemple, dans le cas du couple et du djinn amoureux, la femme se dit « Non, c’est mon mari, je l’aime, il est très bien avec moi, je ne veux pas le laisser pour personne au monde, je suis très heureuse avec lui, etc. » de façon à ne pas laisser le djinn placer un mot. Ceci affaiblit considérablement le djinn et fortifie la personne : elle s’est d’ailleurs débarrassée d’un des effets les plus gênants de la possession : les pensées et les émotions nuisibles.
Ensuite, on contre-attaque : sans attendre que le djinn nous transmette des émotions ou des pensées, nous lui envoyons les nôtres. D’abord en lisant le Coran, nous nous efforçons d’y plonger avec nos pensées et nos émotions de façon à les lui imposer. En baignant au maximum dans l’ambiance de la religion nous l’y plongeons aussi. Ensuite, il est souvent très efficace que le malade prenne un temps pour prêcher le djinn. Un bon moment est avant de dormir, car le djinn est bien réveillé et on est dans le calme. La démarche à suivre est celle exposée au chapitre suivant. Commencez à parler d’Allah, et ressentez que vous devez avoir un amour, une reconnaissance, une confiance et une soumission illimitées à Allah. Pensez cela jusqu’à le lui faire admettre et jusqu’à ce qu’il le pense autant que vous. Puis parlez de l’islam, et pensez clairement qu’il n’y a aucune ambiguïté et aucun doute possible au fait que l’islam soit la vérité. Pensez ensuite que tout l’intérêt de tout homme et djinn est en suivant au maximum l’islam et que tout intérêt « contradictoire » avec l’islam n’est qu’illusion et n’est pas un réel intérêt. Pensez cela très fort de façon à éliminer tous les prétextes du djinn à ne pas suivre l’islam. Pensez ensuite très fort que le djinn commet une erreur en restant en vous. Pensez pour lui que pour réussir sa vie il doit vous quitter, et éliminez-lui tout désir de rester en vous. Pensez ensuite très fort qu’il doit partir à l’instant même. Prenez la décision pour lui et ne lui laissez aucune alternative.
Cette méthode est très puissante et très efficace. Seulement elle dépend de vous ! Si vous doutez des affirmations précédentes, si vous ne les assumez pas, le cinéma que vous ferez sera dans effet sur le djinn. D’ailleurs, votre pleine adhésion à ces affirmations est plus importante pour vous que celle du djinn et que votre guérison même. Et si votre maladie a servi à adhérer à ces affirmations ou à fortifier votre adhésion, c’est un bienfait énorme.
4 La méthode générale
La sorcellerie est souvent accompagnée d’un djinn ; un djinn peut toujours cacher de la sorcellerie ; le mauvais œil peut être présent avec la sorcellerie ; le mauvais œil peut être présent avec la sorcellerie et le djinn. Pour cela, il vaut mieux systématiquement traiter les trois affectations ensemble. La plupart des versets listés ci-après sont communs aux trois affectations mais certains sont spécifiques à l’une ou l’autre. Comme il ne coûte rien de compléter, le traitement qui suit est donc valable pour les trois, et je préciserai par la suite in cha Allah les cas spécifiques.
Le patient s’allonge sur le dos : il sera ainsi complètement décontracté et concentrera tout son attention à écouter le Coran et à prier Allah que tout le mal qu’il a, qu’on le connaisse ou pas, s’en aille. On le couvre entièrement d’un drap léger. Le rôle du drap est de faire un effet de serre : le Coran lu se concentre sur la personne ; de plus il vaut mieux que le malade évite de regarder la scène car les djinns voient à travers lui et peuvent essayer d’impressionner certains des présents ; enfin, si c’est une femme, cela couvrira toutes les formes de son corps. S’il n’est pas possible de le couvrir parce qu’il est un enfant ou qu’il a trop peur ou qu’il est asthmatique ou qu’il étouffe avec la lecture, on couvre juste le corps et on laisse la tête. Puis on place 12 bouteilles d’eau de 1,5 L ouvertes et remplies à côté de sa tête. On peut éventuellement en mettre plus, cela sera discuté plus bas. Puis le soignant lui tient les tempes avec le pouce et l’annulaire, par-dessus le drap. Exceptionnellement, si le mal est situé dans un endroit précis du corps, il peut tenir cet endroit au lieu des tempes ou même mettre un doigt dessus. Ensuite il lit la série complète dans la feuille jointe, les versets sont cités au paragraphe suivant, en mettant les bouteilles aussi près que possible de sa bouche et en se tournant plutôt vers les bouteilles. Quelles que soient les manifestations du patient, il faut poursuivre la lecture jusqu’au bout. Pendant la lecture, le patient ferme les yeux et se relâche complètement pour se concentrer sur la lecture quoi qu’il arrive. A la fin de la lecture, le lecteur souffle dans les bouteilles ouvertes.
Une fois la lecture finie, le patient se relève et on bouche les bouteilles. Le mauvais œil nécessite 5 bouteilles. Pour enlever la sorcellerie il faut 9 bouteilles : c’est un traitement maximal qui enlève jusqu’à cinq sorcelleries. Aussi, vaut-il mieux donner 9 bouteilles dans tous les cas pour avoir le cœur net. Maintenant, après avoir rencontré certains cas plus difficiles, nous prescrivons tout de suite 12 bouteilles pour tout le monde pour éviter autant que possible que la personne revienne avec un restant de sorcellerie. Il y a autant de bouteilles que de jours, une bouteille à utiliser par jour. Il en boit un demi-litre en trois fois dans la journée (matin, midi et soir ; pendant le ramadan aux heures où on peut manger), pour que le Coran tourne constamment dans son corps, et se lave avec le litre restant au coucher du soleil, sinon tôt dans la soirée. Si la personne doit boire des tisanes (voir plus loin) il n’est plus nécessaire qu’elle boive de la bouteille de lavage. Les djinns vivent la nuit et dorment le jour, à l’opposé des humains. Il faut les frapper avec le lavage au moment où ils se réveillent pour les assommer pour la nuit, et on recommence le lendemain au moment où ils se réveillent, et ainsi de suite pendant la durée du traitement. La sorcellerie est de même nature que les djinns et on prend les douches à la même heure aussi. Mais quand la nuit devient trop courte, ils se lèvent avant le coucher du soleil. Pour cela, quand le coucher est très tard, il ne faut pas l’attendre et se laver dès 19-20H. On peut se laver avec l’eau froide, mais le plus efficace pour les djinns et la sorcellerie est l’eau chaude presque brûlante, à la limite du supportable, car le djinn est créé de feu et la chaleur le désintègre ; la sorcellerie est de même nature. Pour réchauffer l’eau, il ne faut pas la réchauffer normalement dans une casserole sur le feu, mais au bain-marie comme un biberon dans l’eau chaude ou au micro-ondes ou sur le radiateur. Puis le patient le verse entièrement sur sa tête, il jette la bouteille vide derrière lui (ceci pour le mauvais œil, mais bon à faire dans tous les cas), et essuie l’eau sur son corps avec ses mains. Il vaut mieux avoir les ablutions pour se laver, dire « bismillah », demander à Allah la guérison, et faire l’intention de se soigner et que le mal retourne sur celui qui l’a fait. Il doit récupérer l’eau et éviter qu’elle parte dans les égouts en se lavant dans une bassine ou en bouchant la baignoire et en pompant l’eau après ; il peut aussi se mettre sur une serviette pour qu’elle prenne l’eau et la mettre à sécher. Puis il jette l’eau dans la nature : dans une pelouse, sous un arbre, dans la terre ou dans les plantes. Il s’agit de respecter le Coran, et si on omet ce point cela ne joue pas sur le traitement. Mais on a constaté que l’eau ainsi déversée brûle les djinns, mécréants qui sont dans les égouts : c’est un mal gratuit qu’il faut éviter de faire, sans compter qu’ils peuvent éventuellement se venger, et cela prouve que l’eau contient effectivement du Coran. Il faut impérativement se laver tous les jours sans interruption jusqu’au bout du traitement. Les femmes interrompent le traitement pendant leurs règles pour respecter la pureté du Coran, sauf si elles sont dans une situation difficile et urgente, et qu’il est pénible pour elles de retarder le traitement.
Exceptionnellement, si le traitement est pour un mauvais œil uniquement, le patient se lave et ne boit pas. Il a 5 bouteilles pour se laver pendant 5 jours. La lecture sur la personne affaiblit la sorcellerie et brûle le djinn, puis le lavage avec l’eau du Coran efface la sorcellerie, l’eau est plus importante que la lecture, et il est suffisant de donner à une personne les bouteilles prêtes sans lire sur elle. Par contre, pour le djinn, cela ne suffit pas, il faut absolument lui lire, et même utiliser d’autres techniques décrites plus bas in cha Allah. Le seul cas où il faut lire pour la sorcellerie est quand il y a un djinn avec la sorcellerie qui la protège ; il faut donc lire pour l’écarter et pour pouvoir attaquer la sorcellerie. Il en résulte qu’on peut se contenter de donner l’eau à la personne quand la sorcellerie est simple. Le soignant peut ainsi préparer en une fois de l’eau pour plusieurs personnes. Notre expérience montre qu’on peut préparer jusqu’à 72 bouteilles en une fois, en posant devant soi 12 packs d’eau, avec tous les bouchons enlevés, ou bien 9 bidons de 20 L. Au-delà de cette quantité, la lecture du Coran n’atteint pas les bouteilles.
methode captage
1) Qu’est-ce que le captage ?
Capter les djinns consiste à les amener de force dans le corps d’une personne dénommée le capteur ; le djinn parle alors instantanément et il est notre prisonnier, nous pouvons faire ce que nous voulons de lui. Comment est-ce possible ? nous sommes arrivés dans la pratique de la roqya au fait que tous ceux qui ont été possédés par les djinns jusqu’à ce que les djinns parlent par leur bouche, une fois que le djinn est parti et qu’il est guéri par la grâce d’Allah, il reste entre lui et le monde des djinns une ouverture qui permet aux djinns de l’influencer mais lui aussi peut agir sur leur monde à travers cette ouverture. Et comment peut-il agir sur eux et les amener ? Avec l’intention, le douâa et en récitant : « à partir de aynama » 2/148. Mais comment se fait-il qu’ils soient nos prisonniers et qu’on puisse faire ce qu’on veut d’eux ? C’est nous qui l’avons ramené par la puissance d’Allah et Ses paroles, donc il ne pourra partir que si nous lui permettons, il est donc notre prisonnier. L’amener dans notre monde le met dans une position de vulnérabilité extrême et exposé à toute atteinte. Il te suffit de taper son cou – le cou du capteur – de ta main pour couper sa tête, et si tu frappes sa main, tu lui coupes la main, etc.
Le capteur n’a pas de djinn qui amène les djinns et nous n’avons pas de djinns avec lesquels nous travaillons, mais le capteur a une ouverture sur le monde des djinns résultant de ses atteintes passées par les djinns et sorcelleries, et cette ouverture nous permet d’amener les djinns par son intermédiaire pour discuter avec lui et le maîtriser.
2) Comment obtenir un capteur ?
Tu reçois un patient et un djinn parle à travers sa bouche lors de la lecture : c’est lui qui pourra être capteur. Tu dois d’abord résoudre le problème de son ou ses djinns par la grâce d’Allah en discutant avec eux et en les prêchant à Allah. Si cela ne donne pas de résultat, lis le verset du Trône et frappe son coup légèrement avec ta main comme si tu tranches sa tête avec un sabre. Le plus souvent, la torture poussera le djinn à s’échapper et le patient reprendra ses esprits ; mais il se peut qu’il reste sous la torture jusqu’à ce qu’il se plaigne que la sorcellerie l’empêche de partir. A ce moment-là ne lui propose que l’islam ou la mort et continue à le torturer. S’il a fui alors récite : « à partir de aynama » 2/148 jusqu’à ce qu’il revienne. S’il est revenu, maintenant la situation s’est renversée et au lieu que la djinn possède la personne c’est la personne qui possède le djinn. Continue alors la récitation et les coups jusqu’à ce qu’il meurt ou embrasse l’islam. Alors tu dis au djinn s’il s’est converti ou au patient s’il est mort : « Maintenant nous allons demander à Allah de ramener les djinns qui restent avec toi » et tu récites : « à partir de aynama » 2/148 jusqu’à ce qu’ils soient là . Tu répètes la même opération jusqu’à ce qu’ils se convertissent ou qu’ils meurent. Puis tu dis au patient : « Maintenant nous allons demander à Allah de ramener tous les djinns d’où ceux-là sont venus. S’ils viennent de la maison, on ramène in cha Allah tous les djinns qui restent à la maison ; si un sorcier les a envoyés, on ramène tous les djinns qui restent chez le sorcier ; s’ils viennent d’un pacte que les ancêtres ont fait avec les djinns, on amène tous les djinns qui sont liés à ce pacte ; s’ils viennent d’un lieu où on adore les djinns comme le fétiche, le fleuve, la forêt ou la montagne, on ramène in cha Allah tous les djinns qui se font adorer là -bas ». Tu récites : « à partir de aynama » 2/148 jusqu’à ce qu’ils soient tous là . Une fois qu’ils sont présents, nous allons discuter avec eux jusqu’à ce qu’ils se convertissent tous à l’Islam in cha Allah ; la manière de les prêcher est mentionnée au paragraphe suivant in cha Allah. Si tu es arrivé à ce stade, ton capteur est prêt à capter les djinns des autres patients, ou tout djinn que vous voudrez, mais il a besoin d’exercice. Le plus souvent le capteur est lent au début et le djinn parle difficilement, mais en quelques jours il s’améliore et devient opérationnel et avec le temps se perfectionne de plus en plus. Mais il y a certaines personnes qui ne supportent pas cela, soit que ça les fatigue soit que le djinn va les posséder encore et il faudra lutter de nouveau pour l’enlever. Parmi les obstacles au captage il y a les problèmes psychologiques du capteur ; si c’est le cas, fais-lui la psychothérapie telle que nous l’avons décrite dans le livre pour que ses capacités mentales soient complètes par la grâce d’Allah. Si malgré cela, il souffre et s’épuise du captage ; alors laisse-le et contente-toi de le soigner et de refermer ses brèches jusqu’à ce qu’il n’ait plus aucun lien avec le monde des djinns et cherche un autre capteur.
3) Mode d’emploi
Après avoir capté et maîtrisé les djinns pendant deux ans, nous sommes arrivés à la découverte suivante : les invocations et les versets agissent directement sur les djinns. Il n’y a donc pas besoin de parler et discuter longuement avec eux : quel que soit le cas que le djinn présente tu trouveras un ou des versets adéquats pour répondre à cette situation, ou tu pries Allah de le résoudre jusqu’à ce qu’Il la résolve.
La première chose à faire quand le djinn arrive est de le faire embrasser l’islam en lisant : « 6/162-163 ». Cela est un ordre d’Allah à ceux qui l’entendent de se soumettre à Allah, et ce verset détruit aussi les sacrifices faits aux djinns, or ce sont ces sacrifices qui font leur force et leur satanisme. Si le djinn objecte qu’il ne connaît pas Allah, lis : « 39/62-63 » ou le verset de la lumière : « 24/35 ». S’il dit qu’il est créé pour le mal ou pour le feu ou qu’il est fabriqué par Satan, lis : « 51/56 ». S’il objecte qu’il a un pacte avec le diable et s’il le trahit il mourra, lis : « 9/1 ». S’il est amoureux, attaché à une femme ou la djinniya attachée à l’homme, récite : « 30/21 ». S’il dit qu’il est au service du diable, récite : « 35/6 » et ajoute s’il le faut : « 14/22 » et il verra in cha Allah le mensonge de Satan et sa trahison et s’en désengagera. S’il dit qu’il est riche et te propose l’argent, récite : « 15/21 ». S’il est roi, général ou grand chef, récite : « 38/20 ». S’il semble être sage, rusé ou savant, récite : « 2/269 ». S’il dit que ta lecture le brûle, récite : « 21/69 » in cha Allah, elle l’illuminera sans le brûler. S’il est muet ou handicapé ou blessé, récite la Fatiha et il guérira in cha Allah, de même s’il se plaint que le patient lui a fait du mal. S’il dit que ses proches ont été tués, récite : « 30/21 » et Allah te montrera des signes étonnants in cha Allah. S’il fait semblant d’être musulman, lis : « 4/145 jusqu’à annar » jusqu’à ce qu’il meurt ou qu’il devienne sincèrement musulman. S’il dit que tu ne dis pas la vérité récite : « 17/81 ». S’il demande de quel droit tu le ramènes de force pour le convertir, récite : « inni ja’iloun fil-ardi khalifa » 2/30. S’il dit qu’il accepte d’aller au feu, récite : « 36/63-64 » jusqu’à ce qu’il change d’avis in cha Allah. Si le djinn est dénaturé comme un animal bizarre ou avec une multitude de têtes ou autres choses que les sorciers fabriquent avec les diables, comme Allah a dit : « Et je leur ordonnerai et ils modifieront la création d’Allah » (4/119), récite : « 30/30 de fitrat à khalqi llah » et il reviendra à sa nature originelle in cha Allah. S’il est un vieillard affaibli, récite : « Soubhan almaliki lqouddouss » et il retrouvera ses forces in cha Allah. S’il a peur des sorciers ou autres, récite : « wa kana haqqan alayna nasroul mouminina » 30/47. S’il te demande qui tu es, récite : « 7/196 ».
Tous ces versets, il les comprendra et ils l’influenceront et agiront sur lui de façon à résoudre toutes ces situations par la grâce d’Allah. Tu peux aussi utiliser les invocations, par exemple s’il refuse l’islam, dis : « Ô Allah, guide-le ! Montre-lui la vérité ! Illumine-le ! Sors-le des ténèbres aux lumières ! etc ». Cela agira sur lui jusqu’à ce qu’il se convertisse in cha Allah. Depuis que nous avons fait cette découverte il n’y a plus aucun djinn qui refuse de se convertir par la grâce d’Allah.
La deuxième étape consiste à ramener tous les djinns qui restent dans la maison du patient, son travail et tout lieu qui a un lien avec lui ainsi que chez tous les sorciers d’où viennent ces djinns. Tu dis aux djinns qui sont là que nous demandons à Allah de les ramener et tu récites : « 2/148 » pour qu’ils viennent et : « 50/22 de fakachafna » pour que leur vision aille plus loin, et : « 24/44 » pour qu’ils voient plus loin encore et « 18/109 » pour que les djinns viennent même s’ils sont aussi nombreux que les gouttes de la mer. Quand ils sont là , tu les appelle à l’islam comme tu as fait avec leurs prédécesseurs. Puis tu amènes les autres et les autres et tu leur demandes s’il reste des djinns chez les sorciers et s’ils connaissent d’autres djinns qui ne sont pas musulmans ou qui travaillent pour les sorciers et tu lis à chaque fois les versets pour élargir la vision jusqu’à ce qu’ils ne voient plus rien.
Tu passes maintenant à la troisième étape : tu leur demandes de regarder toutes les sorcelleries là où ils étaient et tu récites : « 25/23 » pour les détruire et « 8/11 de wa younazzilou » pour nettoyer les traces de la sorcellerie et « 16/26 de fa’ata » pour détruire la sorcellerie dans sa source si elle est cachée ou protégée ou éloignée et « 9/1 » pour détruire les pactes et « 6/162-163 » pour annuler les sacrifices et les offrandes pour les djinns et « 29/41 » pour annuler toutes les relations, les pactes et les forces mystiques et sataniques qui affectent le cours des évènements et bloquent la vie du patient comme une toile d’araignée. Tu continues avec ces versets jusqu’à ce qu’il ne reste rien de la sorcellerie par la grâce d’Allah, mais tout cela ne te dispense pas de faire le traitement comme nous l’avons expliqué avec l’eau, les ventouses, le sana et l’huile car le monde des djinns est différent du monde des humains et même si un djinn voit et assure que la sorcellerie est complètement finie, traite-le quoiqu’il en soit. Si la sorcellerie empêche le djinn de sortir du corps du malade ou retient d’autres djinns prisonniers comme par exemple ceux qui sont chez le sorcier ou dans le maison, détruis-la avec ces versets et les djinns seront libérés in cha Allah.
Ensuite l’étape quatre, tu dis aux djinns présents : « Voyez-vous les sorciers et les commanditaires de la sorcellerie ? » Quand ils les verront, lis : « 37/177 » pour que le châtiment d’Allah tombe sur eux, « wa la yazalou lladhina kafarou tousibouhoum bima sana’ou qari’atoun 13/31 » pour que leur mal revienne sur eux, « de waqadhafa jusqu’à almouminina 59/2 » pour qu’il n’en reste rien. Détruire les sorciers de cette manière anéantit leur pouvoir de sorcellerie ; ils vont alors laisser la sorcellerie ou recommencer à zéro les pactes sataniques.
Enfin, tu leur lis : « wa kana haqqan ‘alayna nasroul mouminina » jusqu’à ce qu’Allah leur donne la force et les armes dont ils ont besoin, puis tu lis : « 4/76 de faqatilou » et ils verront que les alliés du diable sont les sorciers et ceux qui recourent à leurs services et ils iront les combattre car c’est Allah qui le leur ordonne.
4) Arguments et discussion
Tous ceux qui ont vu le captage des djinns se sont étonnés et la majorité s’est réjoui et a loué Allah pour cette aide extraordinaire et cette ouverture divine dans le domaine de la guérison spirituelle et du combat contre les sorciers, et certains ont émis des objections diverses que je vais énumérer in cha Allah.
- « Il n’est pas permis de faire entrer un djinn dans un corps humain ». Cette interdiction a besoin d’une preuve. Nous avons cité l’argument d’Ibn Taymiyya qu’Allah lui fasse miséricorde où les sahabas avaient l’habitude de poser des questions à un djinn à travers une femme qui avait un djinn lié à elle. Par ailleurs l’opération de captage consiste à demander à Allah de le ramener et Allah exauce la demande et le résultat de ce verset : « Où que vous soyez, Allah vous amènera tous » se réalise, donc nous ne l’amenons pas avec notre pouvoir, mais nous demandons à Allah de l’amener et Allah l’amène.
- « La présence du djinn dans le corps de l’homme est nuisible et cela n’est pas permis ». Ceci encore a besoin d’un argument. Le prophète, prière et paix sur lui, a laissé le djinn dans le corps de la femme noire pour la faire souffrir et en échange elle aura le Paradis, donc il est possible d’amener le djinn pour un temps très court pour le convertir à l’Islam et soulager le malade sachant que la nuisance qu’il cause au capteur est très minime. J’ai expliqué dans la manière d’obtenir un capteur que celui qui ne supporte pas le captage nous le laissons et nous ne l’utilisons pas, et nous gardons ceux qui ne sentent pas de difficulté et de conséquences.
- « Il n’est pas permis d’attraper le djinn car cela était une particularité de Soulaymane, paix sur lui, et pour cela le prophète, prière et paix sur lui, a laissé le djinn qu’il avait attrapé ». La prière de Soulaymane, paix sur lui, signifie que personne n’atteindra son royaume et n’interdit pas de l’imiter, et le prophète, prière et paix sur lui, a laissé le djinn après l’avoir attrapé par respect pour la prière de Soulaymane pour ne pas le concurrencer dans sa spécificité. Nous aussi nous attrapons les djinns un temps très court pour qu’il se convertisse et qu’on détruise les sorcelleries par la volonté d’Allah, puis nous le renvoyons contre les sorciers. Attraper le djinn puis le lâcher est donc une sounna du prophète, prière et paix sur lui.
- « Mais le prophète, prière et paix sur lui, n’a pas attrapé le djinn dans le corps d’un homme ». Cela ne signifie pas que c’est interdit, et le prophète, prière et paix sur lui, l’a fait effectivement quand un nomade puis une jeune fille sont venus précipitamment pour manger et il a retenu leurs mains pour empêcher le diable de manger et a dit : « Sa main était dans ma main avec leurs mains ! »
- « Les prédécesseurs n’ont pas fait cela ». La roqya est du domaine de la guérison où l’innovation est autorisée tant qu’on ne sort pas du cadre de la loi islamique tout comme il est autorisé d’utiliser les roqyas d’avant l’islam tant qu’il n’y a pas d’associationnisme.
- « Rien ne prouve que les paroles du djinn sont vraies et que sa conversion ou la destruction de la sorcellerie est véritable ». Effectivement tout ce qui se déroule dans le captage a besoin d’être vérifié et on ne prend pas les paroles des djinns comme une vérité absolue, mais nous savons que le djinn s’est vraiment converti par le fait que le Coran ne le brûle plus. Par ailleurs j’ai déjà mentionné que nous allons traiter le patient de façon complète malgré ce qui s’est passé dans le captage. Pour vérifier la réalité du captage, nous regardons les résultats : l’essentiel est qu’il ne reste pas de djinn avec le malade et que tous ses symptômes disparaissent. C’est par expérience que nous avons constaté de nombreux résultats avec le captage.
J’invite tous les raqis à essayer cette technique et ils constateront par eux-mêmes la procédure et la réalité du captage in cha Allah.
5) De nouveaux horizons
Le captage nous a ouvert par la grâce d’Allah de nouveaux horizons qui sont essentiellement :
- La rapidité et la facilité de la guérison du patient et la baisse du taux de rechute avec les djinns car nous ramenons par la grâce d’Allah sur le champ les djinns qui sont dans son corps, dans sa maison, dans son travail, ceux qui restent chez le sorcier et tous ceux qui ont un lien avec lui.
- La solution de certains cas qui étaient très durs comme le cas des fous car ils ont des milliers de djinns en eux.
- Vaincre les sorciers qui nous attaquent en prenant tout ce qu’ils ont comme djinns et en détruisant leurs sorcelleries et en retournant contre eux leurs djinns, de même que les sorciers des patients que nous traitons.
- Nous avons institué une nouvelle procédure dans la roqya : chaque endroit où nous allons durant les tournées de traitement et de formation à la roqya, nous demandons où se trouvent les sorciers en cet endroit. En général, ils sont organisés et ont un chef. Nous visitons donc le chef, ou le plus célèbre ou qui nous pouvons parmi eux, nous l’invitons à l’islam et au repentir, puis nous ramenons ses djinns devant lui, nous détruisons ses sorcelleries et nous laissons ses djinns le combattre. Puis nous partons et le laissons dans cet état. Il va se mettre extrêmement en colère et nous envoyer tous les djinns et sorcelleries qu’il peut. Nous les attrapons tous par la grâce d’Allah, nous les convertissons et nous les renvoyons les combattre. Il va alors appeler tous les sorciers qu’il connaît à son secours et ils enverront tout ce qu’ils pourront. Nous refaisons alors la même chose et au bout de quelques jours il ne reste plus aucun sorcier opérationnel dans la zone par la grâce d’Allah le Tout Puissant.
- Détruire les œuvres des sorciers brise le travail de celui qui a utilisé la sorcellerie pour obtenir la richesse et le pouvoir, et tu vois alors les alliés du diable tomber par la grâce d’Allah et les affaires de la société revenir à la normale.
Conclusion
Louange à Allah, par Son bienfait les bonnes choses s’accomplissent. La roqya est entrée dans une nouvelle étape : elle est la guérison et le soulagement pour beaucoup de gens qui souffrent dans leurs corps et sont bloqués dans leurs vies. Elle est la protection de la foi des musulmans contre le chirk. C’est une porte de daâwa pour les non musulmans comme les sahabas, qu’Allah les agrée, ont soigné des polythéistes. Et c’est un combat contre les sorciers, les féticheurs, les voyants et tous ceux qui s’allient avec les diables et les djinns mécréants jusqu’à ce qu’ils perdent tous leurs pouvoirs mystiques par la grâce d’Allah.
Nous demandons à Allah d’accepter nos œuvres et de nous ouvrir des richesses de Ses sciences pour aider Ses serviteurs et détruire Ses ennemis jusqu’à ce que la parole d’Allah soit la plus haute et que Sa religion domine toute religion. Et prière et paix sur le plus noble des messagers et louange à Allah seigneur des mondes.